AP- L’opposition tente de s’organiser pour faire barrage à une éventuelle candidature du président à l’élection d’avril prochain. La coalition USN, qui regroupe plusieurs partis, a fait vendredi 25 septembre sa rentrée politique en réunissant ses principaux responsables. Le mot d’ordre : « Non à un 5e mandat ». Le mouvement refuse la configuration du futur processus électoral. Pour cela, il prépare des actions.
L’USN compte également se faire entendre dans la rue, en organisant des meetings et des manifestations. Même si les dernières tentatives se sont soldées par des échecs. « Chaque fois, les rues sont quadrillées par les forces de sécurité. Les gens ont peur de se faire tirer dessus », explique le patron de la coalition. Les actions devraient donc commencer discrètement dans les quartiers, en espérant de défiler sur les grandes artères.
Le mouvement est en contact avec d’autres partis pour agir de concert. Le président du RADDE, par exemple, n’est pas contre des actions communes, même si aucune alliance formelle n’existe pour le moment. « Nous ne fermons pas la porte, car mutualiser les moyens serait bienvenu, mais pour l’instant nous appliquons notre stratégie », indique Abdourahman Mohamed Guelleh. Mercredi, le RADDE a saisi l’ONU, l’Union Européenne et l’OIF pour dénoncer lui aussi les failles et dysfonctionnements du processus électoral.
AP- L’opposition tente de s’organiser pour faire barrage à une éventuelle candidature du président Ismaël Omar Guelleh, à l’élection d’avril prochain. La coalition USN, qui regroupe plusieurs partis, a fait vendredi 25 septembre sa rentrée politique en réunissant ses principaux responsables. Le mot d’ordre : « Non à un 5e mandat ». Le mouvement refuse la configuration du futur processus électoral. Pour cela, il prépare des actions.
L’USN compte également se faire entendre dans la rue, en organisant des meetings et des manifestations. Même si les dernières tentatives se sont soldées par des échecs. « Chaque fois, les rues sont quadrillées par les forces de sécurité. Les gens ont peur de se faire tirer dessus », explique le patron de la coalition. Les actions devraient donc commencer discrètement dans les quartiers, en espérant de défiler sur les grandes artères.
Le mouvement est en contact avec d’autres partis pour agir de concert. Le président du RADDE, par exemple, n’est pas contre des actions communes, même si aucune alliance formelle n’existe pour le moment. « Nous ne fermons pas la porte, car mutualiser les moyens serait bienvenu, mais pour l’instant nous appliquons notre stratégie », indique Abdourahman Mohamed Guelleh. Mercredi, le RADDE a saisi l’ONU, l’Union Européenne et l’OIF pour dénoncer lui aussi les failles et dysfonctionnements du processus électoral.