Dans un communiqué ce mardi 3 novembre 2020, le gouvernement par la voix du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Sansan Kambilé qualifiant la mise en place d’un Conseil national de transition de « sédition » l’a condamné. Et d’indiquer que la mise en place d’un tel organe pour substituer aux Institutions de la République, tout comme les violences perpétuées suite à l’appel à un boycott actif constituent, « des actes d’attentat et de complot contre l’autorité de l’Etat et l’intégrité du territoire. Ces faits sont prévus et punis par la loi pénale ».