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Le Comité d’enquête de Russie (ICR) a annoncé l’ouverture d’une procédure pénale contre le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) Karim Ahmad Khan, ainsi que les juges Tomoko Akane, Rosario Salvatore Aitala et Sergio Gerardo Ugalde Godinez. Auparavant, ils avaient émis un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine et la commissaire aux droits de l’enfant Maria Lvova-Belova.

« Les poursuites pénales sont évidemment illégales, car il n’y a aucun motif d’engager la responsabilité pénale. Conformément à la Convention sur la prévention et la répression des infractions contre les personnes jouissant d’une protection internationale du 14/12/1973, les chefs d’État jouissent de l’immunité absolue de la juridiction des États étrangers », a déclaré l’ICR dans un communiqué .

Cas relevant de la partie 2 de l’ art . 299 et partie 1 de l’art. 30 h 2 cuillères à soupe. 360 du Code pénal de la Fédération de Russie (amener une personne sciemment innocente à la responsabilité pénale, combinée à l’accusation illégale d’une personne d’avoir commis un crime grave ou particulièrement grave, ainsi qu’à se préparer à attaquer un représentant d’un État étranger jouissant du droit international protection afin de compliquer les relations internationales).

Le comité d’enquête a engagé des poursuites contre des juges de la CPI en vertu de la partie 2 de l’art. 301, partie 1 de l’art. 30 h 2 cuillères à soupe. 360 du Code pénal de la Fédération de Russie (détention sciemment illégale, ainsi que préparation d’une attaque contre un représentant d’un État étranger bénéficiant d’une protection internationale, afin de compliquer les relations internationales).

Le 17 mars, la CPI a émis un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine et Maria Lvova-Belova. Le tribunal a jugé qu’ils étaient « prétendument responsables de crimes de guerre liés à la déportation illégale de la population (des enfants) » d’Ukraine. L’UE a pris note de cette décision. Le ministère chinois des Affaires étrangères a condamné la décision de la CPI et l’a exhorté à respecter l’immunité des chefs d’État. Dmitry Peskov a déclaré que le Kremlin avait réagi calmement à cette décision.

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